REMERCIEMENTS
La première personne que je tiens à remercier est Jean-Louis RENCHON qui a su me laisser la liberté nécessaire à l'accomplissement de mes travaux, tout en y gardant un œil critique et avisé. Nos échanges continuels, si riches, ont sûrement été la clé de réussite de ce travail.
Mes remerciements vont également à mesdames Jehanne SOSSON et Pascale VIELLE, toutes deux membres de mon comité d’encadrement, pour la gentillesse et la patience qu'elles ont manifestées à mon égard durant cette thèse, pour tous les conseils et aussi pour m'avoir fait l'honneur de participer au Jury de défense de cette thèse.
Je présente toute ma reconnaissance à M. Walter PINTENS, professeur de droit patrimonial à la K.U.L. et responsable de l'Instituut voor familiaal vermogensrecht de la Faculté de droit de la K.U.L. pour avoir accepté d’examiner ma dissertation doctorale et de faire partie de mon jury de thèse.
Merci à M. Henri SIMONART, Professeur et doyen honoraire de la Faculté de droit de l’Université Catholique de Louvain, d’avoir accepté de présider le jury de cette thèse.
Il m’est impossible d’exprimer toute ma gratitude au professeur KAPETA NZOVU ILUNGA, mon encadreur à l’Université de Kinshasa, qui est devenu au fil des années plus qu’un père, dont la confiance et les conseils m’ont été si précieux dans ma carrière scientifique. J'espère que cette thèse sera un remerciement suffisant au soutien et à la confiance sans cesse renouvelée dont il a fait preuve en mon égard.
S'il est beaucoup de personnes que l'on qualifie à tort de sage ou de savant, ce n'est pas le cas avec MUKADI BONYI. J'éprouve un profond respect tant pour son travail, notamment pour ses publications scientifiques dont certaines m’ont beaucoup inspiré dans le développement de certains points traités dans ce travail , que pour sa qualité humaine. Plus qu’un encadreur, j’ai trouvé en lui , depuis notre séjour commun loin de notre mère patrie (Motherland), un ami qui m'a aidé aussi bien dans le travail que dans la vie lorsque j'en avais besoin.
Je ne saurai, à ce stade, manquer de citer une personne dont la disponibilité et la rigueur m’ont apporté des moments de fierté, de persévérance dans l’ardeur au travail et de me sentir fortement impliqué dans la recherche scientifique ; j’ai l’honneur de citer : le professeur LUKOMBE NGHENDA, qu’il trouve ici, en témoignage de ma profonde affection et de ma reconnaissance pour tout, mes chaleureux remerciements pour son soutien sans faille et pour son assistance financière à ma famille pendant les premières années de mon séjour en Europe. Dans ce même élan, je remercie aussi mon amie, Charlotte TWAMBA ANDJELANI, ministre honoraire à la Fonction Publique, pour son soutien et particulièrement pour avoir financé mes différents séjours de recherche à Kinshasa. Je ne saurai oublier aussi le couple Jean LONGANE (Kaka Jean) & BULAYA BATELEY Agnèce-Justine pour son soutien et son accueil à mon arrivée ici en Belgique.
J’ai une dette particulière envers mes amis Garry SAKATA et Dieudonné DIUMI et à leurs épouses respectives Henriette TABIANA et Clarisse LELO pour leurs encouragements et leur foi dans ce projet. De même, je remercie et exprime toute mon amitié doublée de reconnaissance à Jean Paul SEGIHOBE et à son épouse Virginie, à Jackson MUBIKI KANINGINI KYAMUSOKE et à son épouse Miss BAKAJI NGONYI, à Alain KASENDE MBAY et à Nono MUTOKE , à Roger BADI BUDU et à Christelle, et enfin à l’abbé Placide-Anicet NGBOYO et à monseigneur Camille LEMBI ZANELI. Pourquoi ne pas rendre la pareille à Ivon MINGASHANG pour son témoignage d’amitié et de complicité.
Cette gratitude va également à mes collègues de l’université de Kinshasa qui m’ont permis d’apporter ma collaboration à l’enseignement supérieur de mon pays. Je pense particulièrement à Remy NGOY LUMBU, Paul Gaspard, Jean-Claude Fidèle MFUAMBA LOBO, Tété KABUA, Cim's MULUNGULUNGU, Jeef NGWABIKA ,Vicky ELONGO, José TASOKI, Hypollite Ebarand KOLONGELE, hYpollite NAMAYELE, Kady LAPIKA, Zegs ZEGBE, Willy BOY LUNDU et bien d'autres.
Je tiens aussi à mentionner le plaisir que j'ai eu à travailler au sein du CEFAP, Centre de la personne, de la famille et de son patrimoine de la faculté de droit de l’Université Catholique de Louvain et j'en remercie ici tous les membres. Je pense particulièrement à Maïté BEAGUE , Clautaire AGOSSOU , Nathalie BAUGNIET, Etienne BEGUIN, Sylvie CAP, Nathalie DANDOY , Bérénice DELAHAYE, LIGOT , MALLIEN, Florence REUSENS, Lorette ROUSSEAU, Fabienne TAINMONT et Willems GEOFFREY. Mes remerciements particuliers à Nathalie BAUGNIET pour son amitié, sa sympathie et surtout pour sa contribution dans ma compréhension de certains aspects du droit familial belge. Elle a été toujours là quand j’avais de difficultés pour comprendre ce droit, sans cesse évolutif. Qu’elle trouve une part d’elle dans ce travail.
Au delà des cadres scientifiques du CEFAP, je suis redevable envers mesdames Christiane STORDEUR et Thérèse VAN DEN EYNDE. Ici en Belgique comme là bas en Afrique, au Congo, je me souviendrai toujours de leur gentillesse et surtout des moments formidables de joie et de convivialité passés ensemble lors de nos rencontres annuelles de noël.
Pour leur généreuse assistance dans mes recherches, je voudrais aussi remercier la Bibliothèque de l’UNICEF et particulièrement madame HILDE VERPOORTEN, documentaliste au sein de cette bibliothèque.
Dans ce travail où le Féminin tient une si grande place dans la recherche de son émancipation, je n’aurai pas l’outrecuidance de ne pas citer les deux femmes extraordinaires qui ont touché ma vie. D’abord ma mère, Véronique MBONZE, ma complice de tout le temps que la nature a arraché récemment à notre affection. Puis ma femme, Jeanine BULAYA, juriste comme moi, qui n’a pas aménagé son temps dans la lecture de ce travail, et, sans doute, la femme la plus extraoraonaire que je n’aie jamais rencontrée.
Je ne saurai clore cette page sans remercier, pour leur contribution à des degrés divers dans la réalisation de cette œuvre, le couple Romain LUSHIMA et Jacquie BULAYA, le couple Sandrine EMONY et Jean Michel BAKONDA, mes sœurs Clémentine, LIDIA MWANZO, Nancy & Irène MWANZO , mes frères Jules et Papy MWANZO , mon père Louis MWANZO, mes neveux et nièces Olivier, Gaél, Luxcène, Joyce MBONZE MANGALA, Kélvin MWANZO idin’ AMINYE, Sandrine AMBUNGA MWANZO, mes beaux-frères Albert MALANGU et Albert KABANGU ainsi que mes belles-sœurs Tantine KELEKELO et Laurianne DIAKANUA. Je m'en voudrais de ne pas remercier Jerry Dilan DILAMA et mes belles soeurs Yvette et Charlotte BULAYA. Merci à Jeef BULAYA, à sa femme et leurs enfants pour tout.
Il y a cependant des personnes qui ne m’entendront certes jamais et qui n’auront plus jamais l’occasion de me lire. Et c’est le lieu de leur rendre un vibrant hommage. J’ai le profond regret de citer : mon oncle Maurice AMBUNGA, mon grand-père Jules EMONY MONDANGA, le doyen KALONGO MBIKAY, le professeur MBAYA NGANG, le professeur IMBAMBO, le professeur Félicien ASSANI, le professeur MIDAGU BAHATI, le professeur Télésphore TSAKALA et le chef des travaux TSHILOMBO. L’occasion m’est ici offerte de leur dire combien je leur suis redevable pour l’humilité, l’amour du travail bien fait, la volonté de bien faire ! Je ne bénéficie que d’une partie de cet héritage et c’est la raison pour laquelle ces illustres personnalités méritent que je leur manifeste ce témoignage en signe de remerciement.
Enfin, pourquoi ne pas le dire, dans cette épreuve où seuls le courage et la maitrise des connaissances ne suffisent pas, la force qui donne l’impulsion ne peut provenir que de Dieu. Comme toute production scientifique exécutée ‘‘pour la gloire’’, cette entreprise est le fait de Dieu
Belgique, Tirlemont, 28 avril 2009