Dédicace
A Henriette, mon épouse. Ce travail te doit beaucoup… Qu’il soit pour toi le témoignage de mon infinie reconnaissance pour ces années de compréhension, de privations et d’efforts communs.
A Just Fontaine, Gilchrist et Cécile-Esther, nos enfants, tout étonnés que leur papa ait enfin terminé « sa thèse » !
A ma mère, décédée il y a peu et qui serait contente d’apprendre que son fils a enfin terminé le travail qu’il avait commencé.
A mon père pour la peine endurée.
REMERCIEMENTS
La réalisation de cette thèse fut une occasion merveilleuse de rencontrer et d’échanger avec de nombreuses personnes. Je ne saurais pas les citer toutes sans dépasser le nombre de pages raisonnablement admis dans ce genre de travail. Je reconnais que chacune a, à des degrés divers, mais avec une égale bienveillance, apporté une contribution positive à sa finalisation. Mes dettes de reconnaissance sont, à ce point de vue, énormes à leur égard.
Je pense particulièrement au professeur Francis Haumont, mon promoteur, pour la finesse de ses attitudes sur le plan aussi bien humain que scientifique. Ses remarques successives ont permis d’améliorer les différentes versions de ce travail. Il a toujours trouvé comme promoteur le juste équilibre entre la liberté qu’il m’a laissée dans le choix des grandes orientations et dans la détermination des pistes à suivre, d’une part, et un soutien total et sans faille dans les moments délicats, d’autre part. De lui, j’ai toujours reçu non seulement les encouragements dont le doctorant a tant besoin, mais aussi les précieux conseils pratiques que seul un homme, ayant des qualités humaines comme lui, peut amener à prodiguer. Grâce à son approche respectueuse de la personne humaine, je me suis continuellement senti à l’aise. Je lui en sais infiniment gré. Je remercie également tous ses collaborateurs notamment Denis Malotaux pour avoir lu partiellement ce travail et pour m’avoir continuellement fourni la documentation actualisée sur la question de ma recherche. Je pense aussi à Dominique Etienne et Rebecca Gervais du secrétariat de son cabinet d’avocats pour leur apport technique.
Dans le cadre de mes travaux, j’ai reçu des professeurs Philippe Coppens et Etienne Orban de Xivry des remarques fines ainsi que de précieux avis et suggestions. On sait l’étendue de leurs connaissances juridiques. J’aurais souhaité qu’ils lisent encore et toujours ces pages pour davantage les critiquer. J’éprouve une déférence particulière à l’égard du professeur Ali Mekouar pour ses connaissances du droit forestier et les remarques substantielles qu’il a formulées pour la finalisation de ce travail. Sans lui, ce travail n’aurait pas sa forme actuelle. Je pense également aux professeurs Raymond Bula Bula et Théodore Trefon qui ont lu et suggéré des améliorations à ce travail.
Je remercie particulièrement Michel Ledent qui a mis à profit sa retraite professionnelle pour la relecture totale de cette thèse. Il a procédé à une chasse sans merci des fautes d’orthographe et des coquilles même s’il faut admettre que certaines demeurent récalcitrantes.
J’ai une pensée très tendre à l’endroit de mon épouse Henriette Tabiana et de mes enfants Just Fontaine, Gilchrist et Cécile-Esther pour leur apport quotidien à la réalisation de ce travail. Ils m’ont toujours donné l’espoir d’aller de l’avant.
Je suis très reconnaissant à l’égard de Bertrand et Sylvaine Ippersiel ainsi que leurs enfants pour leur amitié.
Je pense également aux familles Tabiana (le défunt Léon, Denis, Aline, Nicaise, Jolie, Esther Mukata), Sakata (Joséphine, Séverine, Jean Bertin, Ernestine, Blandine, Violette, Blanchard, Papy-Basile), Tamukiur (Martin, Elodie et leurs enfants), Mwanzo (Eddy, Jeanine et leurs enfants) pour leurs encouragements. J’ai une infinie liste d’amis à Louvain-la-Neuve, à Bruxelles et à Kinshasa et je ne ferai pas le pari de les énumérer sans risque d’en omettre certains. Je m’astreins à un devoir de reconnaissance à l’égard de tous.
Garry SAKATA
Louvain-la-neuve, le 14 mars 2009.